Hello, moi c’est Margaux.
Hello,
moi c’est Margaux.
J’ai commencé à publier des textes sur les réseaux sociaux en 2016, lors d’un voyage qui a bouleversé ma vie.
Je voyageais en solo en Amérique latine (et à l’intérieur de mon monde intérieur surtout) depuis un an quand les signes me poussant à partager mes réflexions se sont enchaînés, de plus en plus gros, de plus en plus insistants.
J’avais quitté une vie qui cochait pourtant toutes les cases de la réussite mais qui ne me rendait pas fondamentalement heureuse.
Ne te méprends pas, je n’étais pas malheureuse, j’avais trouvé un rythme et une certaine forme de confort dans une relation et un emploi qui avaient pourtant été inconfortables dès le début.
Qui avaient sonnés faux dès le départ.
Mais je ne m’étais pas autorisée à écouter cette petite sensation, toute petite mais persistante au creux de mon ventre qui me signifiait que la voie que je prenais n’était pas la bonne.
Pas la bonne pour moi.
Je me créais depuis un an une vie en dehors des codes mais parfaitement ajustée à qui j’étais.
À ce qui me faisait rêver.
Vibrer.
A mes valeurs et aspirations profondes.
Je vivais en écoutant mon intuition.
Et non plus selon ma tête, les attentes extérieures ou encore mon CV.
C’était tellement bon. Çà sonnait tellement juste. Çà me donnait tellement d’énergie.
Qu’au bout d’un moment il n’a plus été possible de ne pas partager mon histoire.
De ne pas être peut-être à mon tour le déclic, l’autorisation indirecte que quelqu’un attendait pour réaligner sa vie.
Car plusieurs personnes m’ont dit les bonnes choses au bon moment de la bonne façon.
Et c’est ce qui avait participé à générer mon propre déclic.
Depuis je suis rentrée.
Je n’ai plus jamais refait de marketing international dans un grand groupe de luxe.
Je n’ai pas ré-emménagé à Paris.
J’ai choisi Bruxelles, l’entrepreneuriat dans le mieux-être et une relation amoureuse hors-codes.
Évidemment que ce sont d’autres cases.
Mais je les ai choisies consciemment celles-ci.
Et j’en dessine moi les contours pour ne plus jamais me sentir à l’étroit.
Rien ne me pré-destinait à tout ça.
A part,
peut-être le destin justement.
Ici. Maintenant. C’est de tout ça que je veux te parler.
Oui je parle de moi.
En espérant que ça te parle de toi.
Oui, c’est ma vie que je prends en exemple. En espérant qu’elle te renvoie à la tienne.
On n’est pas obligé de tout quitter pour réaligner ce qui ne l’est pas.
On n’est pas non plus obligé d’aller mal pour aller mieux.
Mais en revanche, je crois profondément que si notre vie ne nous rend pas profondément heureux, on se doit de faire quelque chose
Suite au prochain article : “Je ne me respectais pas assez pour dire stop. ”